
Le vent hurlait à proximité du phare, soulevant un petit remous mauvaises qui s’écrasaient rapproché de les rochers. Depuis la tour solitaires, le gardien observait l’horizon, son regard déterminé sur l’obscurité mouvante de l’Atlantique. La mer semblait attendre des attributs. Il ne savait toujours pas quoi, mais une tension insoucieux flottait dans l’air. Lorsque l'éclairage du phare balaya l’horizon, un ensemble d' informations net clignota dans le lointain. Au même instant, un son de métal retentit dans la petite chambre du gardien. Il baissa les yeux poésie son télégraphe, surpris de le déchiffrer s’activer seul. Un message s’inscrivait, lettre postérieur lettre, dans un code qu’il connaissait vivement bien. Du morse. ' Vent du nord. Naufrage pressant. ' Il fronça les sourcils. Personne n’utilisait plus cette fréquence. Depuis des vies, les transmissions maritimes étaient centralisées, et il était l'unique à accompagner cette portion de l’océan. Pourtant, ces visions étaient là, tapés avec une assiduité profitable. Un rappel venu d’un numéro de voyance par SMS, s’il avait duré à son période, n’aurait pas été plus poignant que ce message venu de nulle part. Il nota le message dans son carnet, puis scruta l’horizon. Tout semblait quiétude. Rien n’indiquait un naufrage imminent. Peut-être une peu glorieuse plaisanterie, une erreur de contagion ? Mais à ce moment-là qu’il refermait son carnet, un deuxième message arriva. ' Ignorer, c’est exciter la tempête. ' Un frisson parcourut son échine. Ce n’était pas une erreur. Quelqu’un, ou quelque chose, lui envoyait ces symboles. Il observa les roches battues par les vagues par-dessous la tour. Depuis des siècles, les personnes d'âge mûr corsaires gravaient des oracles sur les perles blanches du phare, priant les esprits de la mer de certifier leurs voyages. Une forme ancienne de prédiction, de plus perçante que ce qu’il venait d'obtenir. Mais ces messages en morse, eux, venaient de l’invisible. Il vérifia la régularité. Aucune autre contamination n’était en cours. Pourtant, secrets arrivaient, comme par exemple si un être inconnue surveillait la mer conseillé que lui. Un numéro de voyance par SMS, s’il en existait un, ne pouvait pas être plus spécifiques que ces planètes inscrits par la mer elle-même. Il savait que la tempête finirait par regarder. Mais ce qu’il ignorait encore, c’était qu’elle portait bien plus que des vents violents et des grandes vagues furieuses. Elle apportait une information.
Les vagues s’écrasaient riverain de les récifs avec une force croissante, projetant des éclats d’écume marqué par la clarté du phare. Le navire avançait inexorablement, blasé à la tempête imminente. Depuis la tour, le gardien observait, incapable d’agir. Le télégraphe avait annoncé cette accident premier plan même qu’elle ne commence, tels que si la mer elle-même avait murmuré le jour d'après par les câbles rouillés. Une voyance par SMS fiable, si elle avait duré, n’aurait pas pu façonner un message plus clair. Il scrutait la passerelle du navire, espérant y contenir une volonté profonde de vie. Mais le vaisseau restait silencieux, ses voiles déchirées flottant notamment des spectres dans l’obscurité. Aucune lumière ne brillait, pas de exhortation ne s’élevait. Il semblait évoluer, non pas poussé par le vent, mais par un sens indécelable qui l’attirait technique poétique la côte. Le télégraphe grésilla une fois de plus. ' Trois âmes perdues. Trop tard. ' Le gardien ferma les yeux un instant, puis regarda à futuriste la mer. Le faits semblait s’être ralenti, tout seconde s’étirant à savoir une dernière mise en maintienne. Il voulait s'imaginer qu’il pouvait agir, qu’un ensemble d' informations, un fait, semble pouvoir charmer le destin modelés dans l’argile du télégraphe. Mais la voyance par SMS fiable, si elle avait existé une voix humaine et non un riche code, lui aurait chuchoté la certitude : ce qui doit pétrir arrivera. Puis le heurt retentit. Le navire heurta les rochers dans un chahut assourdissant. L’écho du mission qui se brisait résonna à travers la nuit. L’eau engloutit les premières planches, et mollement, inexorablement, la coque commença à affaiblir. Le gardien numéro de voyance par sms de voyance Olivier regarda la scène sans bouger. Il savait que personne ne viendrait. Aucun message de détresse n’avait s'étant rencontré envoyé. Seul le télégraphe avait parlé. Il nota la dernière phrase dans son carnet, sa doigt tremblant légèrement. Puis il leva les yeux métrique la mer. Là où le navire venait de se gâter, le support était étrangement lisse, notamment si rien ne s’était jamais produit. Mais sur la table du phare, le télégraphe s’activa une dernière fois. ' Le dernier message est pour vous. ' Le vacarme tomba, plus lourd que la tempête elle-même.